À Bagan, Annick avait été frappée de vertige lors de la première montée. La beauté de la place pouvait être ressentie au sol, mais c'était en haut d'un temple qu'on pouvait réellement apprécier l'étendue de ce lieu. Un peu vexée par cette frayeur incontrôlable, Annick s'était parée de courage pour les temples d'Angkor. Voici une preuve de son courage et de sa capacité à aller au-delà de ses propres limites:
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